Pour le détail de l'histoire du métro de Montréal, voir Wikipedia. J'en avais déjà un peu parlé à mon arrivée à Montréal, ici le métro n'a pas grand chose à voir avec le métro parisien. Stations spacieuses, plus espacées entre elles (à part au centre-ville), vitesse assez élevée, tracé très rectiligne. Bref, on voit qu'il a été commencé plus récemment (dans les années 60). Il n'est pas aussi charmant que le très blanc métro parisien, il n'est pas que fonctionnel pour autant : chaque station a ses œuvres d'art, et toutes les stations sont différentes. Il y fait très chaud, apparemment même en hiver. Enfin, les lignes n'ont pas de numéro, elles sont juste désignées par leur couleur (orange, vert, bleu, jaune).
Descente vers les quais de la station Snowdon, la plus proche de chez moi pendant l'été (une autre station est plus proche mais elle est en rénovation).
Une rame à la station Berri-UQAM. A Montréal le métro sur pneu est généralisé.
Comme à Snowdon, beaucoup d'espace.
Les correspondances sont en général très bien faites. Elles ont été bien conçues dès le départ. Ici, à la station Lionel-Groulx, apparemment la mieux conçue, deux lignes se croisent. Le concept, c'est qu'à chaque côté du quai correspond une ligne, les deux directions d'une même ligne étant superposées (pour que tout soit bien clair : les deux métros qu'on voit sur la photos sont sur la ligne orange, un pour chaque direction; la ligne verte est derrière moi). Ainsi, la plupart du temps pour prendre sa correspondance, il suffit d'aller en face, pas besoin de se balader dans des galeries pendant dix minutes.
Voici le plan du métro fourni par la STM (l'équivalent de la RATP), très schématique, mais qui donne quand même une idée de la simplicité des tracés :
Les VET transport ont-ils quelque chose à rajouter?
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