mardi 28 septembre 2010

Ce que j'aime ici

> Le bon sens et le civisme des gens, leur spontanéité à accueillir et la facilité de faire connaissance. Montréal est une grande ville qui semble plus tranquille que les autres. Festive, sûre, organisée, raisonnable, verte au sens propre (je ne sais pas si on peut trouver une autre grande ville avec autant d'arbres) et qui cherche à être plus verte au sens figuré, ouverte d'esprit, bien vivante.
> L'efficacité du métro, la beauté un peu démodée mais bien entretenue et certainement artistique de ses stations.
> Je me sens tout petit face à l'immensité de la nature. Les fleuves et rivières sont démesurés, le nombre de lacs aussi.
> Les études ont l'air dédramatisées par rapport à chez nous, la vie semble du moins se construire plus linéairement, d'où peut-être un certain équilibre social (vu des États-Unis, le Québec c'est les communistes d'Amérique du Nord).
> Il est très rare de croiser une crotte de chien.
> Le musée d'art contemporain, les festivals.
> La quantité incroyable d'arbres à Montréal. Avec l'arrivée de l'automne c'est de plus en plus beau.
> Le Piknic Electronik.
> Et surtout, j'aime mon club d'aviron.

4 commentaires:

  1. Je n'ai volontairement parlé que des côtés positifs dans cet article; des retours que j'ai eus, certains ont cru comprendre, dans mes articles critiques (sur l'échangeur Turcot, le recyclage, le festival Divers/cité) et plus généralement dans mon refus de céder au "ce pays est merveilleux tout est mieux ici", que je n'aimais pas ce pays. Cet article est là pour montrer des aspects positifs sur lesquels je m'étais peut-être trop peu attardé. Si je suis souvent critique, c'est aussi que je trouve ça passionnant d'aller chercher les incohérences d'une société que l'on découvre et de les décortiquer un peu. Je nuancerais donc maintenant en ajoutant quelques points négatifs que je n'ai pas encore mentionnés : les câbles électriques pas enterrés, les fast food partout, l'urbanisation trop étalée (ces trois points sont typiquement américains). Et derrière les études moins dramatiques se cache l'absence d'une filière de formation des élites, d'après un français de mon labo, d'où des problèmes quand il s'agit de faire avancer des grands projets (CHU de Montréal, échangeur Turcot, et plus anciennement le stade olympique, dont l'architecte était certes français).

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  2. Tu fais tes propres commentaires maintenant?

    Tu as raison, il faut garder son sens critique.

    Nous avons bien compris que tu aimes le Québec et si ce sont les communistes des USA, alors on approche la perfection

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  3. Et depuis quand vous commentez d'une même voix vous (en fait je connais la réponse)?
    Oui là je me sentais obliger d'ajouter quelque chose, mais je voulais y donner moins d'importance.

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  4. tu as rai son ne te laisse pas faire !!

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